Ellen White nous dit (entre autres choses) que lorsque nous rĂ©pondons vraiment au Maitre, « nous dĂ©sirons vivement reproduire Son image, nous imprĂ©gner de Son esprit, faire Sa volontĂ© et Lui ĂȘtre agrĂ©able en toutes choses » (Le meilleur chemin, p. 55). En compagnie de JĂ©sus-Christ, le devoir, dit-elle, « devient un dĂ©lice » ( Le meilleur chemin, p. 56).
Maintenant consultez Matthieu 5-7. Voici le sermon sur la montagne, lâun des grands rĂ©sumĂ©s de ce que le Maitre voulait que Ses Ă©tudiants sachent, et le discours principal du royaume quâIl est venu Ă©tablir.
Discussion:
Tout comme Dieu sâest adressĂ© Ă Adam et Ăve, et aussi Ă Jacob, de mĂȘme JĂ©sus sâadresse Ă nous. Il se relie Ă nos profonds dĂ©sirs, et nous pousse (comme Il lâa fait Ă BartimĂ©e) Ă reconsidĂ©rer qui nous sommes et oĂč nous allons. Dans cette optique, rĂ©flĂ©chissez Ă la façon dont nous enseignons la Bible Ă nos enfants et les uns aux autres. Quelle est la diffĂ©rence entre un enseignement biblique mĂ©diocre et un enseignement convaincant qui fait vraiment une diffĂ©rence dans la vie des gens?
La question de savoir oĂč vous ĂȘtes dans votre parcours de la vie est-elle purement personnelle, ou serait-il utile dâen discuter avec des personnes en qui vous avez confiance? Comment lâidĂ©e de lâĂ©glise comme le « corps de Christ » (1 Cor. 12:27) suggĂšre-t-elle que la conversation avec les autres peut ĂȘtre un moyen dâentrer en contact avec ce que Christ veut que vous sachiez?
Nous avons appris jeudi que dĂšs que BartimĂ©e a pu voir, dĂšs quâil a Ă©tĂ© sauvĂ© de sa cĂ©citĂ© physique (et spirituelle), il a suivi JĂ©sus sur la route de JĂ©rusalem. Sur cette route, il entendait chaque jour la sagesse du Maitre. Maintenant, nous pouvons supposer quâil voulait reproduire lâimage de JĂ©sus, sâimprĂ©gner de Son esprit, faire Sa volontĂ©. Pourquoi quelquâun ver- rait-il cela comme un « dĂ©lice », comme le dit Le meilleur chemin, de suivre une norme aussi Ă©levĂ©e que celle que JĂ©sus a soutenue dans le sermon sur la montagne?
Pour en savoir plus sur cette question, voir la fin de lâĂ©tude de Jeudi. Comment apprenons-nous Ă discerner entre le bien et le mal? Comment dĂ©finir ce qui est bien et ce qui est mal? Et pourquoi ce que nous faisons avec cette connaissance est-il peut-ĂȘtre encore plus important que le fait dâavoir cette connaissance en soi?