Les psaumes dans l’Ancien Testament ont fini par jouer un rôle dans la vie religieuse de l’ancien Israël. Ils étaient récités, chantés, souvent avec des instruments de musique, pendant les périodes de culte, en particulier le culte public, qui, dans l’Ancien Testament, était la clé de la façon dont le peuple adorait en général. Israël fonctionnait comme une commu- nauté, et en tant que telle, ils pratiquaient leur culte ensemble.
Les psaumes sont essentiellement des poèmes, des paroles des chan- sons. Le mot hébreu pour « psaumes », Tehillîm, signifie « chants de louange ». Et lorsque nous chantons des louanges à Dieu, quoi que nous fassions d’autre, nous adorons le Seigneur.
Lisez Psaume 78:1-17. Quel est le message essentiel ici, et comment s’intègre-t-il dans toute la question de l’éducation et de l’adoration?
Il y a une certaine détermination quant au message du psaume 78. Au verset 2, Asaph mentionne la façon dont nous partagerons les « énigmes des jours d’autrefois » (Ps. 78:2 DRB). Le mot « énigme » ne signifie pas « problème » mais plutôt « affaiblissement » ou « estompement », comme peut le devenir l’histoire lorsque ses évènements cruciaux remontent de plus en plus loin dans le temps. Dans d’autres traductions, le mot « énigme » est transmis par « mysères » (BJ) ou « sagesse » (LSG). Le fait est que, quelle que soit l’éducation d’Israël, elle comprenait l’enseignement des histoires aux enfants, sur les relations du Seigneur avec la nation choisie.
Regardez le Psaume 78:6-17. Quelles étaient les leçons spécifiques qu’ils devaient enseigner à leurs enfants? Quel était le but ultime de cette éducation?
L’un des objectifs de l’éducation, tel qu’il apparait dans les textes, est que les enfants apprennent à avoir confiance en Dieu et à garder Ses comman- dements. Comment un texte comme Apocalypse 14:12 pourrait-il refléter cette même idée pour nous aujourd’hui?