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Semaine de la GCV,Semaine spéciale
7 décembre 2020

Semaine GCV : Missionnaire en Samarie [Jour 4]

Méditation du jour

https://soundcloud.com/adventistereunion/semaine-de-la-gestion-chretienne-de-la-vie-jour-4/s-ZTF5W41sX5H

Missionnaire en Samarie

« Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait ; ne serait-ce point le Christ ? » (Jean 4:29)

S’il y avait eu une presse locale, un journal annonçant les Ă©vĂ©nements les plus importants dans la rĂ©gion de Samarie, je pense qu’un article aurait paru avec le titre « RĂ©veil en Samarie ». Un tel article aurait donnĂ© des dĂ©tails sur les deux jours que JĂ©sus a passĂ©s Ă  Nazareth, dans la ville de Sychar, avec ses disciples. Cela aurait Ă©tĂ© un Ă©vĂ©nement extraordinaire en raison des tensions et de la haine qui existaient entre les Juifs et les Samaritains. Aucun Juif respectable n’aurait fait une telle chose. L’article dĂ©crirait comment JĂ©sus s’est fait connaĂźtre parmi les Samaritains, ainsi que le rĂŽle important qu’une femme, dont nous ne connaissons pas le nom, a jouĂ© dans ce cas. À l’époque, il n’y avait pas les moyens de communication que nous avons aujourd’hui. Mais l’évĂ©nement qui eut lieu dans les banlieues de JudĂ©e Ă©tait rĂ©el. Les personnes impliquĂ©es Ă©taient de vraies personnes, et on parle de cette femme depuis des siĂšcles et plus encore. Elle peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme l’une des plus grandes missionnaires de la Bible parce qu’elle a rencontrĂ© le plus grand missionnaire de l’humanitĂ©, JĂ©sus-Christ. N’oublions pas que tout a commencĂ© avec la plus petite chose, un verre d’eau.

Jésus-Christ, le grand missionnaire

Il y a une peur dont nous ne parlons pas, bien qu’elle soit prĂ©sente et qu’elle domine la vie de beaucoup de ceux qui se disent croyants : la peur de tĂ©moigner. La peur peut avoir de nombreuses causes : nous ne savons pas quoi dire, nous ne sommes pas convaincus que ce soit notre devoir, ou nous rĂ©alisons que cela peut changer la vie d’une personne pour toujours.

Dans l’Évangile de Jean, un chapitre entier est consacrĂ© Ă  la rencontre de JĂ©sus avec la Samaritaine au puits de Jacob (Jean 4). AprĂšs avoir prĂ©sentĂ© la rencontre nocturne de NicodĂšme avec JĂ©sus dans le troisiĂšme chapitre, Jean, l’évangĂ©liste, poursuit la description de la rencontre de JĂ©sus avec la Samaritaine comme une dĂ©monstration du verset le plus important de la Bible, qui dit que « quiconque » croit peut avoir la vie Ă©ternelle (Jean 3:16). Ces deux personnes, NicodĂšme et la Samaritaine sont les deux extrĂȘmes de tout le spectre de la religiositĂ©. Personne ne peut ĂȘtre si bon qu’il n’ait pas besoin d’une naissance venue d’en haut ; mais en mĂȘme temps, personne n’est si loin que la grĂące de Dieu ne puisse le rĂ©cupĂ©rer. L’Évangile est Ă  la fois pour les mĂ©chants et pour ceux qui se considĂšrent comme bons.

JĂ©sus-Christ est Ă©galement notre modĂšle pour la mission et l’évangĂ©lisation. L’ensemble du chapitre est dominĂ© par des surprises. La femme est surprise Ă  la demande de JĂ©sus. Elle n’a jamais vu une telle chose (Jean 3:9) : un Juif s’adressant Ă  une femme samaritaine. Les disciples sont surpris parce que le MaĂźtre s’adresse Ă  une femme (verset 27). À leur tour, les habitants de la ville sont surpris par les paroles de la femme, et ils viennent voir JĂ©sus par eux-mĂȘmes. La plus grande surprise est le changement qui s’opĂšre dans la vie de cette femme. Nous ne savons pas exactement combien de temps JĂ©sus a passĂ© au puits avec cette femme. Jean ne nous prĂ©sente qu’un rĂ©sumĂ© du dialogue, mais il y a tant de choses que nous pouvons en apprendre.

Tout d’abord, l’intention de JĂ©sus est de sauver les Ăąmes. Nous disposons de donnĂ©es gĂ©ographiques exactes et d’un contexte historique, mais Jean nous donne toujours des dĂ©tails qui mettent en Ă©vidence des aspects moins remarquĂ©s par ceux qui sont moins attentifs. Jean dit : « il fallait » que JĂ©sus passe par la Samarie (Jean 4:4) sur son chemin de JĂ©rusalem Ă  la GalilĂ©e. Cette route, bien que plus courte, Ă©tait gĂ©nĂ©ralement contournĂ©e par les Juifs prĂ©cisĂ©ment pour Ă©viter toute rencontre avec les Samaritains. JĂ©sus avait son agenda de chaque jour, comme nous avons le nĂŽtre. Chaque jour, il demandait l’approbation de son PĂšre cĂ©leste ainsi que sa direction pour les occasions prĂ©vues. Aujourd’hui encore, le ciel prĂ©voit des occasions pour ceux qui veulent ĂȘtre utilisĂ©s par Dieu.

DeuxiĂšmement, JĂ©sus surmonte toutes les barriĂšres – ethniques, religieuses, raciales et culturelles, ainsi que les prĂ©jugĂ©s soulevĂ©s par les deux parties – en engageant le dialogue et en demandant une faveur : de l’eau, car il avait soif. Bien que les Samaritains crussent aux cinq premiers livres de la Bible, ils Ă©taient considĂ©rĂ©s par les Juifs comme Ă©tant pires que les paĂŻens parce qu’ils avaient polluĂ© la race pure des patriarches en se mĂȘlant aux paĂŻens. Le rĂ©cipient d’eau de la femme Ă©tait considĂ©rĂ© comme impur, et sa propre communautĂ© la considĂ©rait comme immorale. C’est pourquoi elle Ă©tait seule : personne ne voulait de sa compagnie. Par la demande « Donne-moi Ă  boire », JĂ©sus honore cette femme et lui donne sa dignitĂ©. Il la traite comme une personne responsable, respectable, capable d’une discussion thĂ©ologique. Il lui parle de l’eau vive, de la vĂ©ritable adoration, du vĂ©ritable temple. Plus encore, elle est prĂȘte pour la plus noble des dĂ©couvertes : Son identitĂ©. « Je le suis, moi qui te parle » (Jean 4:26), c’est-Ă -dire le Messie.

JĂ©sus l’aide Ă  dĂ©couvrir le plus grand besoin dans sa vie : le besoin de purification et de pardon. Il la convainc qu’il peut lire les secrets les plus cachĂ©s de sa vie, que rien ne peut ĂȘtre cachĂ©. LĂ , au fond de son Ăąme, se trouve un chapitre douloureux et sale, le sixiĂšme homme, qui n’est pas son mari. JĂ©sus savait que cette femme aspirait Ă  l’amour, Ă  l’épanouissement, Ă  la comprĂ©hension et Ă  l’acceptation, et le puits d’oĂč elle essayait de satisfaire la soif de son Ăąme Ă©tait empoisonnĂ©.

La femme vit le visage de JĂ©sus et comprit, grĂące Ă  ses paroles, qu’il ne la condamnait pas, mais qu’il exprimait plutĂŽt de la misĂ©ricorde et de l’amour. La grĂące de Dieu, l’eau vive, est dĂ©versĂ©e dans le cƓur de cette femme, qui abandonne sa cruche et court Ă  la ville. Elle a un message pour tous les Samaritains, et son message est « Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait » (Jean 4:29), qui sait tout de moi, et qui pourtant m’a traitĂ© avec respect et amour comme personne d’autre dans ma vie.

LĂ  encore, Jean ajoute un dĂ©tail – la femme laisse sa cruche au bord du puits – mais il n’explique pas pourquoi. Elle l’a peut-ĂȘtre laissĂ© pour que JĂ©sus puisse en boire, ou bien elle avait l’intention d’y retourner de toute façon. La cruche vide peut aussi ĂȘtre le symbole de son vide intĂ©rieur. Morris, en revanche, prĂ©fĂšre un autre sens que j’aime beaucoup : « Elle a abandonnĂ© l’idĂ©e d’apporter de l’eau pour amener des gens. »

Cette femme peut-elle ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une missionnaire ? Était-elle prĂȘte pour un travail aussi important ? Ici, Jean met l’accent sur la mission d’une personne engagĂ©e dans l’évangĂ©lisation. Il ne s’agit pas de convertir les gens, c’est l’Ɠuvre du Saint-Esprit. Elle a fait sa propre expĂ©rience en rencontrant JĂ©sus, c’est son propre tĂ©moignage, et elle a fait une chose : elle a invitĂ© les gens Ă  venir Ă  JĂ©sus. « Venez et voyez », une expression qui est rĂ©pĂ©tĂ©e dans cet Évangile (Jean 1:39, 45).

La « nourriture » de JĂ©sus

En l’absence de la femme, les disciples demandent Ă  JĂ©sus de manger, mais JĂ©sus refuse, disant qu’il a une nourriture Ă  manger qu’ils ne connaissent pas (Jean 4:32). Dans ce cas, ils se demandent si quelqu’un lui a apportĂ© de la nourriture. Dans l’Évangile de Jean, nous trouvons deux niveaux de rĂ©alitĂ©. Le premier est le niveau physique, qui peut ĂȘtre vu et connu ; mais JĂ©sus tourne toujours les yeux des auditeurs vers une autre rĂ©alitĂ©, la rĂ©alitĂ© spirituelle, qui ne peut ĂȘtre identifiĂ©e et vue que par la foi. Dans le chapitre 2, il parle du temple spirituel, sa propre personne, dans lequel tous les gens ont la possibilitĂ© de rencontrer Dieu ; mais les Pharisiens et mĂȘme les disciples ne comprennent pas ses paroles. NicodĂšme rĂ©agit Ă  l’impĂ©ratif de JĂ©sus, « Tu dois naĂźtre de nouveau », en demandant comment cela est possible, et JĂ©sus le corrige en indiquant la naissance spirituelle (Jean 3:25). Les disciples, eux aussi, ne comprennent pas les paroles de JĂ©sus concernant la nourriture spĂ©ciale qu’il a reçue lors de son dialogue avec la Samaritaine. JĂ©sus continue : « Ma nourriture est de faire la volontĂ© de celui qui m’a envoyĂ©, et d’accomplir son Ɠuvre » (Jean 4:34). Personne ne s’était jamais exprimĂ© ainsi.

Ce chapitre nous aide Ă  regarder Ă  nouveau dans le cƓur de Dieu, qui est la prioritĂ© du ciel. La Bible toute entiĂšre nous parle d’un missionnaire, Dieu, qui recherche passionnĂ©ment les perdus. La mission n’est pas la nĂŽtre, elle n’est pas celle de l’église, mais celle de Dieu. Elle fait partie de la nature mĂȘme de Dieu. Il est le protagoniste de la mission. Nous n’avons pas un Dieu qui nous envoie en premier, car il s’envoie lui-mĂȘme et en parle encore et encore dans l’Évangile de Jean. L’Ɠuvre de JĂ©sus est d’offrir la vie Ă©ternelle ; c’est l’Ɠuvre que le PĂšre lui a confiĂ©e (Jean 17:2-4), et son engagement dans cette mission lui donne la plus grande satisfaction. Il Ă©tait fortifiĂ© en tĂ©moignant, et sa joie Ă©tait totale lorsqu’il rencontrait des Ăąmes assoiffĂ©es. MĂȘme sur la croix de bois, lorsque l’agonie de la mort prit possession de son ĂȘtre, il fut rĂ©confortĂ© par le dernier tĂ©moignage qu’il donna au brigand crucifiĂ© Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le cri « J’ai soif » est un Ă©cho de la recherche de Dieu, du dĂ©sir de sauver le plus d’ñmes possible.

Tous les gens sont aimĂ©s de Dieu et inclus dans l’Ɠuvre du salut. Dieu aime le monde dans son ensemble et chaque personne individuellement (Jean 3:16). Il y a une faim et une soif spirituelles de Dieu dans nos cƓurs, un vide dans chaque Ăąme, mais beaucoup, comme la femme de Samarie, ne savent toujours pas comment ce besoin peut ĂȘtre satisfait. À cause du pĂ©chĂ©, cependant, tous les gens montrent de la rĂ©sistance Ă  l’appel de Dieu, c’est pourquoi l’Esprit de Dieu lutte avec chaque Ăąme. Cette rĂ©sistance se manifeste dans le dialogue de la femme avec JĂ©sus. Elle n’était pas disposĂ©e Ă  ouvrir son cƓur, mais JĂ©sus la conduit doucement Ă  la source d’eau vive. Nous aussi, nous rĂ©sistons souvent au message divin, et l’Esprit Saint continue d’Ɠuvrer dans nos cƓurs. Il est affligeant de constater que certains continueront Ă  montrer de la rĂ©sistance jusqu’au bout. JĂ©sus nous a prĂ©venus que la semence pourrait tomber sur un sol non prĂ©parĂ©. Mais mĂȘme dans de telles situations, ceux qui n’acceptent pas le message ne nous rejettent pas, nous, mais plutĂŽt Celui qui les aime et veut les sauver.

PrĂȘt pour la moisson

L’effet du tĂ©moignage de cette femme se voit dans la multitude de personnes qui accourent Ă  l’endroit oĂč se trouve JĂ©sus. Toutes ces personnes ne viennent pas pour entendre un sermon, mais pour voir un sermon vivant en la personne du Sauveur. Ellen White capture le plus grand besoin de l’humanitĂ© dans les mots suivants : « Il y a dix-neuf siĂšcles, le monde dĂ©sirait ardemment la rĂ©vĂ©lation du Christ. Il en est encore ainsi aujourd’hui. Il nous faut une rĂ©forme totale. Seule la grĂące du Sauveur peut accomplir cette Ɠuvre de restauration qui s’impose au triple point de vue physique, mental et spirituel. » 

  JĂ©sus utilise des images de la vie rurale pour dĂ©crire l’intĂ©rĂȘt manifestĂ© par les habitants de Sychar. Ne dites-vous pas : « Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson ? Voici, je vous le dis, levez les yeux, et regardez les champs qui dĂ©jĂ  blanchissent pour la moisson » (Jean 4:35).

Selon la parabole, le semeur qui est sorti pour semer est JĂ©sus-Christ lui-mĂȘme ; mais dans l’Évangile de Jean, Il n’est pas seulement le semeur. Il est aussi le grain qui doit mourir pour porter beaucoup de fruits (Jean 12:24). Il est la Semence de la femme dans la premiĂšre promesse de la Bible (Gen. 3:15), et le bois de la croix est le lieu oĂč la Semence meurt non seulement pour ressusciter dans la gloire, mais aussi pour voir le fruit de Ses souffrances (HĂ©b. 12:2).

L’Ɠuvre la plus dure ne nous revient pas ; elle Ă©tait et est toujours Son Ɠuvre, mais tous les disciples sont appelĂ©s Ă  participer Ă  la grande moisson. La moisson a toujours Ă©tĂ© une occasion de joie, et toute la communautĂ© Ă©tait impliquĂ©e dans cette activitĂ© (Ruth 1:22).

Dans la nature, il y a un ordre que Dieu a Ă©tabli : il y a un temps pour prĂ©parer la terre, un temps pour semer, et un temps pour rĂ©colter le fruit. Nous utilisons ces images pour dĂ©crire le long et difficile processus par lequel l’église est impliquĂ©e dans la conquĂȘte des Ăąmes. Parfois, mĂȘme quatre mois (verset 35), selon l’exemple de JĂ©sus, ne suffisent pas pour prĂ©parer les Ăąmes Ă  entrer dans une alliance avec Dieu par le baptĂȘme.

Mais dans le rĂ©cit de Jean, le temps est comprimĂ©. Le jour mĂȘme oĂč les semailles ont eu lieu, la rĂ©colte a Ă©galement lieu. C’est ce que le prophĂšte Amos a prophĂ©tisĂ© : que le jour viendrait « oĂč le laboureur suivra de prĂšs le moissonneur » (Amos 9:13). Toute la ville est mise en mouvement. Les gens ne viennent pas seulement pour voir JĂ©sus, ils lui demandent de rester avec eux, et JĂ©sus-Christ passe deux jours avec eux. Rien de surprenant donc qu’aprĂšs la RĂ©surrection, aprĂšs la prĂ©dication de l’Évangile Ă  JĂ©rusalem et en JudĂ©e, la Samarie soit prĂȘte pour le message de Philippe (Actes 8). Les Samaritains reconnaissent en la personne de JĂ©sus le Sauveur du monde (Jean 4:42), une expression que l’on ne retrouve qu’une seule fois dans la Bible (1 Jean 4:14).

Nous nous demandons ce que reprĂ©sente la Samarie aujourd’hui. OĂč JĂ©sus veut-il ĂȘtre connu, et quels sont les obstacles Ă  surmonter ? Aujourd’hui encore, chacun dĂ©fend sa religion, ses formes, ses rituels et ses montagnes (Jean 4:20). Nous pouvons avoir nos propres montagnes, des enclaves dans lesquelles nous nous retirons et oublions le monde qui nous entoure. À la question « La Samarie est-elle prĂȘte pour le message de l’Évangile », quelle aurait Ă©tĂ© la rĂ©ponse des disciples ? Qu’en est-il des disciples d’aujourd’hui ? Les gens n’ont pas juste besoin de changer de religion, ils ont besoin de voir JĂ©sus. Dieu peut utiliser les outils les plus simples, comme une femme au passĂ© douteux qui a connu la grĂące du pardon.

Dans le chapitre « PrĂšs du puits de Jacob » du livre JĂ©sus-Christ, Ellen White dit : « Tout vrai disciple devient un missionnaire, dĂšs son entrĂ©e dans le royaume de Dieu. » L’évangile est pour « quiconque croit », et quiconque reçoit l’évangile, la bonne nouvelle – JĂ©sus-Christ – devient naturellement un missionnaire. Tel est l’honneur que Dieu veut faire Ă  chacun de nous.

Je promets

De consacrer une demi journĂ©e ou un jour par semaine Ă  l’oeuvre de Dieu,  en partageant la bonne nouvelle Ă  travers l’étude de la bible, le tĂ©moignage, les rencontres en petits groupes.
 ( Implication Total du Membre). 

  1. Quelles sont les similitudes entre la femme de Samarie et la sociĂ©tĂ© actuelle ?
  2. Que pouvons-nous apprendre de la mĂ©thode d’évangĂ©lisation de JĂ©sus ?
  3. Quels sont les dĂ©fis pour les disciples d’aujourd’hui ? Dans quelle mesure suis-je disposĂ© Ă  me laisser conduire par Dieu chaque jour pour saisir les occasions de tĂ©moignage qu’il me prĂ©pare ?

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