Aller au contenu
  • 🏠
  • 📰 Nos quotidiennes
  • â›Ș Nos programmes
  • 💬 Nos salons de discussion
  • 💌 À votre Ă©coute

Restons Unis

đŸ‡·đŸ‡Ș Unis pour la mission 🌍
  • Accueil
  • Programmes
  • Semaine spĂ©ciale
  • Semaine de la GCV
  • Semaine GCV : Le don de l’amour [Jour 7]
Semaine de la GCV,Semaine spéciale
11 décembre 2020

Semaine GCV : Le don de l’amour [Jour 7]

Méditation du jour

https://soundcloud.com/adventistereunion/semaine-de-la-gestion-chretienne-de-la-vie-jour-7/s-PiaYLMjLiOz

Le don de l’amour

« Mais JĂ©sus dit : Laissez-la tranquille ! Elle a fait cela en vue du jour oĂč l’on me mettra dans la tombe » (Jean 12:7, BFC).

Je n’ai rencontrĂ© personne qui n’aime pas les cadeaux. Les cadeaux font partie de nos vies et sont un thermomĂštre de l’amour et de la gĂ©nĂ©rositĂ©. Il est difficile de dire ce que nous aimons le plus : donner ou recevoir des cadeaux ; mais JĂ©sus a dit : « Il y a plus de bonheur Ă  donner qu’à recevoir » (Actes 20:35).

Je voudrais vous inviter Ă  mĂ©diter sur un cadeau spĂ©cial, extraordinaire, qui fut offert d’une maniĂšre non conventionnelle et inappropriĂ©e pour l’époque. Toutes les personnes prĂ©sentes furent troublĂ©es et aucune n’a pu oublier cet Ă©vĂ©nement. Il se trouve que le bĂ©nĂ©ficiaire de ce don extraordinaire Ă©tait JĂ©sus. Peu de rĂ©cits, Ă  part la crucifixion et la rĂ©surrection, sont racontĂ©s Ă  la fois par les quatre Ă©vangĂ©listes. Cet Ă©vĂ©nement est l’un d’entre eux. Matthieu dit qu’une femme « rĂ©pandit le parfum sur sa tĂȘte » (Matthieu 26:7). Marc, en revanche, ajoute un dĂ©tail : cette femme a « rompu le vase » d’albĂątre, et JĂ©sus dĂ©crit son geste comme « une bonne action Ă  mon Ă©gard » (Marc 14:3, 6). L’évangĂ©liste Luc l’appelle « une femme pĂ©cheresse » dans la ville (Luc 7:37) ; et dans l’évangile de Jean, un Ă©vangile qui fut Ă©crit beaucoup plus tard, nous trouvons Ă©galement le nom de cette femme, Marie (Jean 12:3).

Le contexte dans l’Évangile de Jean

Certains commentateurs divisent l’évangile de Jean en deux parties. La premiĂšre partie, du chapitre 1 au chapitre 12, est appelĂ©e le « livre des signes ». Dans cette premiĂšre partie, Jean prĂ©sente sept signes. Le premier se passe Ă  Cana, et le dernier est la rĂ©surrection de Lazare Ă  BĂ©thanie. 

La deuxiĂšme partie, du chapitre 13 Ă  la fin de l’évangile, est appelĂ©e le « livre de la gloire ». Les Ă©vĂ©nements de cette section culminent au Golgotha, oĂč JĂ©sus manifeste la gloire de Dieu. 

Nous voyons comment dans l’évangile de Jean, la popularitĂ© de JĂ©sus augmente d’un signe Ă  l’autre. La rĂ©surrection de Lazare motiva le SanhĂ©drin Ă  se rĂ©unir afin de dĂ©cider de ce qu’il fallait faire de JĂ©sus (Jean 11:47-57).

Le SanhĂ©drin dĂ©cida que JĂ©sus devait mourir ; et le disciple Jean, aprĂšs avoir prĂ©sentĂ© le souper dans la maison de Simon, parle d’une nouvelle dĂ©cision du SanhĂ©drin. Il ne suffit pas que JĂ©sus meure ; Lazare doit aussi mourir (Jean 12:9-11). Jean intercale le rĂ©cit de l’onction de JĂ©sus sous cette nuĂ©e de menaces, montrant Ă  quel point la tension Ă©tait grande au moment oĂč elle s’est produite.

Si dans la premiĂšre partie de l’Évangile de Jean nous avons une chronologie de ce qui s’est passĂ© pendant la premiĂšre semaine d’activitĂ© messianique, maintenant le compte Ă  rebours commence pendant la derniĂšre semaine avant la crucifixion. « Six jours avant la PĂąque, JĂ©sus arriva Ă  BĂ©thanie » (Jean 12:1), car il voulait passer le dernier sabbat avec ses amis, dans la famille oĂč il se sentait chez lui.

DĂźner Ă  la maison de Simon

Simon, bien que pharisien, se considĂ©rait comme un disciple de JĂ©sus. Il voulait honorer JĂ©sus en prĂ©parant un repas spĂ©cial. Simon portait l’épithĂšte « le lĂ©preux », car il avait souffert de cette terrible maladie, et JĂ©sus l’avait guĂ©ri. Lors de ce repas, les disciples Ă©taient accompagnĂ©s de JĂ©sus, d’autres Juifs et de Lazare, rĂ©cemment ressuscitĂ© d’entre les morts. Marthe est Ă©galement prĂ©sente et chargĂ©e de prĂ©parer le repas. C’est la derniĂšre fois que nous rencontrons les trois frĂšres et sƓurs : Lazare, Marthe et Marie.

Si nous avions la possibilitĂ© de remonter le temps et d’ĂȘtre prĂ©sents Ă  ce dĂźner, Ă  quoi serions-nous intĂ©ressĂ©s ? Peut-ĂȘtre que certains d’entre nous seraient surpris par le menu prĂ©parĂ©, ou par la façon dont le repas a Ă©tĂ© servi. Une autre surprise pour notre culture est que seuls les hommes Ă©taient prĂ©sents, et que les femmes ne s’occupaient que de la prĂ©paration et du service des repas. Les discussions entre les personnes prĂ©sentes pourraient ĂȘtre un autre point d’intĂ©rĂȘt. N’oublions pas qu’à table, il y avait quelqu’un qui avait passĂ© plusieurs jours dans la tombe, et une telle chose ne s’était jamais produite auparavant.

Le dĂźner battait son plein lorsque quelque chose d’inhabituel, voire de scandaleux pour certains, se produisit soudainement. Une femme, Marie, entre dans l’espace oĂč se dĂ©roule l’évĂ©nement. Elle transporte avec elle un rĂ©cipient qu’elle a d’abord « rompu » (Marc 14:3), puis elle en rĂ©pand le contenu sur JĂ©sus. Le vase Ă©tait prĂ©cieux, fait d’albĂątre, et son contenu Ă©tait extrĂȘmement coĂ»teux, « un parfum de nard de grand prix » (Jean 12:3). Quelques gouttes auraient suffi pour remplir la maison du parfum de l’onction, mais Marie verse tout le contenu sur le corps de JĂ©sus. Tous les yeux sont tournĂ©s vers JĂ©sus. Il y a un silence, l’indignation et la tension augmentent dans la piĂšce. L’un des disciples finit par rompre le silence avec les mots : « À quoi bon cette perte » (Matt. 26:8), et Jean nous dit qui Ă©tait ce disciple, dont l’esprit critique fut immĂ©diatement assumĂ© par les autres disciples. 

L’esprit de critique est toujours trĂšs contagieux aujourd’hui. Dans un souci mercantile, Judas calcula immĂ©diatement le coĂ»t de cette « perte », soit trois cents dinars. Pour avoir une idĂ©e du don de Marie, la somme de trois cents dinars permettait de subvenir Ă  tous les besoins de base d’une famille pendant toute une annĂ©e. Nous pouvons Ă©valuer le don de Marie dans le contexte du revenu familial actuel pour une annĂ©e entiĂšre. Aujourd’hui encore, ce don serait considĂ©rĂ© comme extraordinaire. Marie a Ă©tĂ© horrifiĂ©e lorsqu’elle a entendu ces paroles de critique, et maintenant elle a eu peur de la rĂ©action de JĂ©sus. Soudain, la voix de JĂ©sus se fait entendre Ă  travers les mots : « Laissez-la tranquille ! Elle a fait cela en vue du jour oĂč l’on me mettra dans la tombe » (Jean 12:7, BFC). JĂ©sus ne dĂ©fend pas seulement Marie, il apprĂ©cie la signification profonde de son geste. Le don de Marie dirige les regards vers un don encore plus grand, le don fait au Golgotha.

Deux personnages aux attitudes totalement différentes

Le personnage principal de ce rĂ©cit, ainsi que de tout l’évangile, est JĂ©sus. Examinons deux autres personnages qui ont eu l’occasion de rencontrer JĂ©sus : Judas et Marie.

Judas, un dĂ©rivĂ© du nom Juda, est un nom magnifique ; la signification de ce nom est « Je louerai l’Éternel » (Gen. 29:35). Aujourd’hui, cependant, ce nom est rare. Pourquoi Judas fut-il agacĂ©, et pourquoi crĂ©a-t-il cette atmosphĂšre d’indignation envers Marie et mĂȘme envers JĂ©sus ? Ellen White, dans le livre JĂ©sus-Christ, dit que Judas fut tellement exaspĂ©rĂ© que, se retirant de ce souper, il alla directement voir les chefs religieux pour trahir JĂ©sus. Mais le fait est que ce n’était pas son argent. Ce n’était pas son produit. Chaque fois qu’un acte de gĂ©nĂ©rositĂ© se manifeste, l’égoĂŻsme est dĂ©jĂ  prĂ©sent et veut prendre le contrĂŽle. Ce fut le cas Ă  cette occasion, et il en est de mĂȘme aujourd’hui. Cette tension et cette lutte sont prĂ©sentes dans tous les cƓurs, y compris le nĂŽtre. Nous ne sommes pas nĂ©s avec un esprit de gĂ©nĂ©rosité ; l’égoĂŻsme fait partie de notre nature dĂ©chue. Il est prĂ©sent dans notre ADN. MĂȘme les jeunes enfants, jusqu’à l’ñge de 2 ans, ont dĂ©jĂ  un sens clair de la possession. Ils savent comment dire les mots « à moi ». Tout comme les parents s’efforcent d’aider leurs enfants Ă  renoncer aux manifestations d’égoĂŻsme, Dieu lutte avec nous pour que nous devenions comme lui, plein de gĂ©nĂ©rositĂ©.

Le disciple Jean ajoute un dĂ©tail que nous ne trouvons pas dans les autres Ă©vangiles lorsque Judas pose la question : « Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum trois cents deniers, pour les donner aux pauvres ? » (Jean 12:5) Et voici ce que Jean dit de Judas : « Il disait cela, non qu’il se mĂźt en peine des pauvres, mais parce qu’il Ă©tait voleur, et que, tenant la bourse, il prenait ce qu’on y mettait » (verset 6). Des dĂ©cennies aprĂšs l’évĂ©nement, lors de la rĂ©daction de l’évangile, l’indignation de Jean est toujours aussi grande. Il savait que l’argent dans le sac n’appartenait pas Ă  Judas ou aux disciples, mais qu’il Ă©tait Ă  Dieu.

Aujourd’hui Ă  l’église, chaque sabbat, l’argent est mis dans le plateau d’offrandes pendant le culte ou envoyĂ© sur le compte de l’église. Cet argent, dĂźmes et offrandes, appartient Ă  Dieu, et son argent passe aussi entre nos mains. L’égoĂŻsme ou l’aviditĂ© peuvent nous inciter Ă  nous accrocher Ă  ce qui appartient Ă  Dieu. Certains peuvent se demander pourquoi, si JĂ©sus connaissait le caractĂšre de Judas, il a acceptĂ© de le laisser devenir un caissier. Dieu nous confie des responsabilitĂ©s non pas pour que nous soyons vaincus par la tentation, mais pour que nous puissions la surmonter. Il n’a besoin ni de nos offrandes ni de nos dĂźmes. Nous devons vaincre l’égoĂŻsme et la critique. « Judas avait cultivĂ© l’avarice au point que tous les bons traits de son caractĂšre en avaient Ă©tĂ© neutralisĂ©s. Il enviait ce qui Ă©tait offert Ă  JĂ©sus. L’envie dĂ©vorait son cƓur en voyant le Sauveur recevoir un don digne d’un monarque terrestre. »

En contraste avec l’attitude de Judas, nous avons l’exemple de Marie. Son don dĂ©passe toutes les attentes. Elle est un modĂšle de gĂ©nĂ©rositĂ©. Jean dit : « la maison fut remplie de l’odeur du parfum » (Jean 12:3), mais non seulement la maison en fut remplie, mais aussi la cour. En dehors du Sauveur, personne n’est plus honorĂ© dans le Nouveau Testament que Marie, car JĂ©sus a dit : « partout oĂč cette bonne nouvelle sera prĂȘchĂ©e, dans le monde entier, on racontera aussi en mĂ©moire de cette femme ce qu’elle a fait » (Matt. 26:13).

Dans le vase que Marie a brisĂ© se trouvaient toutes ses richesses, toute sa dot, tous ses rĂȘves. Si nous avions la possibilitĂ© de lui demander : « Marie, cela valait-il la peine de faire une telle chose ? » que pensez-vous que serait sa rĂ©ponse ? Je pense que sa rĂ©ponse serait : « Ce que j’ai fait ne peut en aucun cas ĂȘtre Ă  la hauteur de tout ce qu’il a fait pour moi ! » Dans les Ă©vangiles, Marie se retrouve Ă  chaque fois aux pieds de JĂ©sus. AprĂšs la rĂ©surrection, c’est Ă  elle que JĂ©sus se rĂ©vĂšle en tout premier lieu. L’essence de nard pur s’est imprĂ©gnĂ©e dans le corps du Sauveur et a continuĂ© Ă  rĂ©pandre son agrĂ©able parfum. Lorsqu’on se moqua de lui, quand il fut battu et pendu au bois de la croix, le parfum de l’huile de nard pur lui disait qu’il y avait des ĂȘtres dans ce monde qui tenait son sacrifice pour prĂ©cieux.

Des dons pour Dieu

Que pouvons-nous offrir Ă  une personne qui a absolument tout ? La seule chose que nous pouvons offrir, c’est notre amour. Avec les dĂźmes, Dieu a instituĂ© le systĂšme d’offrandes. Souvent, lorsque nous discutons de la pratique de la dĂźme et de la façon dont Dieu traite ce sujet, nous ouvrons la Bible au dernier livre de l’Ancien Testament, le livre de Malachie. Dans le premier chapitre de ce livre, Dieu exprime son mĂ©contentement quant Ă  la façon dont son peuple traitait les offrandes qui devaient ĂȘtre apportĂ©es au temple (Mal. 1:8), et dans le chapitre 3, avec les dĂźmes, les offrandes sont Ă  nouveau mentionnĂ©es (Mal. 3:8). Dans la Bible, les offrandes sont souvent associĂ©es Ă  la confession des pĂ©chĂ©s et Ă  l’adoration.

La norme en matiĂšre d’offrandes est diffĂ©rente de celle de la dĂźme. La dĂźme est notre devoir, et les devoirs dans la Bible sont exprimĂ©s en termes spĂ©cifiques, pour ĂȘtre clairs pour tout le monde. C’est pourquoi la dĂźme reprĂ©sente 10 % de tous nos revenus. Mais les offrandes ne se limitent pas Ă  un nombre mathĂ©matique exact. Les offrandes sont dĂ©terminĂ©es par notre gratitude et notre amour. Le don extraordinaire de Marie est l’expression de son amour et de sa reconnaissance envers Dieu. Ce sont nos offrandes, et non notre dĂźme, qui montrent combien nous aimons Dieu. C’est pourquoi JĂ©sus a dit Ă  Simon, qui mĂ©prisait Marie et jugeait JĂ©sus : « Mais celui Ă  qui on pardonne peu aime peu » (Luc 7:47).

La Bible contient des principes clairs qui peuvent nous aider Ă  dĂ©terminer personnellement non seulement la quantitĂ©, mais aussi la qualitĂ© des offrandes. Dans l’Ancien Testament (Deut. 16:10, 17), ainsi que dans le Nouveau Testament (1 Cor. 16:2), il est dit que les offrandes doivent ĂȘtre « selon les bĂ©nĂ©dictions » ou « selon la prospĂ©rité » de chacun. Le second principe est celui du sacrifice si Ă©vident dans les Ă©glises de MacĂ©doine que l’apĂŽtre Paul apprĂ©cie et prĂ©sente comme un modĂšle pour ceux de Corinthe, mais aussi pour nous (2 Cor. 8, 1-5). JĂ©sus a Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© par le don de la veuve, qui a donnĂ© non pas de son abondance, mais par sacrifice ; « elle a donnĂ© tout ce qu’elle possĂ©dait » (Marc 12, 41-44). Chaque sabbat, lorsque nous avons le privilĂšge de donner, nous devons nous demander : « Le don que j’offre Ă  Dieu aujourd’hui est-il un sacrifice pour moi ? » Ce n’est pas Dieu qui a besoin de nos dons, mais c’est nous qui avons besoin d’ĂȘtre guĂ©ris de l’égoĂŻsme.

Le troisiĂšme principe est celui de la rĂ©gularitĂ©. Chaque fois que nous participons au culte, nous donnons parce que l’adoration sans offrande est non seulement incomplĂšte, mais elle n’a pas de valeur (Ps. 50:5).

Un vendredi, j’étais au bureau quand un frĂšre vint me voir et me demanda de lui prĂȘter une certaine somme d’argent parce que « demain », il m’a dit, « je ne veux pas assister au culte les mains vides ». Bien sĂ»r, il est vite revenu et m’a rendu la somme, mais jamais je n’oublierai cette occasion. Nous devons contempler quotidiennement le don suprĂȘme de notre Sauveur au Calvaire.

Un autre principe d’offrande est celui que JĂ©sus a mentionnĂ© dans le Sermon sur la Montagne. C’est le principe de la prioritĂ© de Dieu et de son royaume. Contrairement Ă  d’autres, Marie eut l’occasion d’oindre le corps de JĂ©sus avant ses funĂ©railles parce qu’elle avait fait de son don Ă  JĂ©sus une prioritĂ©. Ellen White dit que « Le Saint-Esprit avait tout disposĂ© pour elle, et elle obĂ©issait simplement Ă  ses suggestions. »

Le Saint-Esprit veut toujours nous guider dans nos offrandes aujourd’hui. Nous pouvons Ă©couter ses exhortations ou, comme Judas, ĂȘtre guidĂ©s par l’égoĂŻsme.

Chaque don que nous faisons doit devenir un symbole du sacrifice au Calvaire. JĂ©sus a vu dans le don de Marie un symbole du parfum du salut qui se rĂ©pandrait du Golgotha dans tout l’univers. Marie fit Ă  JĂ©sus un don encore plus prĂ©cieux que le vase d’albĂątre avec son parfum de nard pur. Non seulement le vase fut brisĂ©, mais son cƓur le fut aussi.

En nous tenant devant la croix, comme Marie l’a fait un jour, nous pouvons dire : « Seigneur, prends entre tes mains notre passĂ©, notre prĂ©sent et notre avenir. Transforme notre vase brisĂ© en un vase d’honneur pour ta gloire. Veille sur nous afin que nous ne suivions pas l’exemple de Judas. Nous voulons t’exprimer notre amour Ă  travers les offrandes que nous te faisons chaque sabbat, afin que, grĂące Ă  elles, d’autres puissent connaĂźtre le parfum de ton salut Ă©ternel, de ton amour et de ta grĂące. »

  1. Suis-je heureux que Dieu ait instituĂ© le systĂšme des offrandes, ou est-ce une chose qui me dĂ©range ?
  2. Y a-t-il des dons que Dieu n’accepte pas aujourd’hui, et si oui, quels sont-ils ?
  3. Je suis prĂȘt Ă  dĂ©cider que mon offrande n’est pas le fruit d’une impulsion ou n’est pas constituĂ©e d’une somme qui ne me reprĂ©sente pas. Dans quelle mesure mon offrande est-elle un symbole du sacrifice au Calvaire ?

Navigation de l’article

Publication précédente
Publication suivante

Les 4 sessions de PriĂšre pour nos soeurs et frĂšres Ă  Mayotte :
‱ À 6 heures et 18 heures, pour un temps de priĂšre collective sur un nouveau salon du site RestonsUnis.com intitulĂ© « Mayotte »
‱ À midi et minuit, pour un temps de priùre personnelle

Rejoindre une session collective (6h et 18h)

📞 Salon Mayotte par tĂ©lĂ©phone : Tel. : +33 1 73 08 31 91 ‱ Code : 443 990 995 3506#

Faire un don pour Mayotte
‱ Dons en ligne sur www.adventiste.re
‱ Dons FACSAR lors de la collecte des offrandes du sabbat, en indiquant « Mayotte » dans la catĂ©gorie « Autres » du bordereau de versement FACSAR

FAIRE UN DON POUR MAYOTTE

⭐ Ne pas rater

  • 🎧 Les podcasts d’ARC Radio
  • đŸ“± L’application mobile AdventisteReunion
  • đŸŽŒ Le parolier JA

Restons Unis

đŸ‡·đŸ‡Ș Unis pour la mission 🌍
Revenir en haut
FiÚrement propulsé par WordPress | ThÚme : Memory par GretaThemes.
Restons Unis
  • 🏠
  • 📰 Nos quotidiennes
  • â›Ș Nos programmes
  • 💬 Nos salons de discussion
  • 💌 À votre Ă©coute
Ajoutez votre widget ici