« Puis il leur dit: le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat, de sorte que le Fils de l’homme est maitre même du sabbat » (Marc 2:27, 28, LSG).
Jodie était la seule Adventiste du Septième Jour dans son programme d’études supérieures, et son choix de ne pas assister à certains évènements socio-éducatifs le jour du sabbat rendit ses convictions très visibles.
Un jour, une de ses amies, Gayle, l’a appelée. Le mari de Gayle devait s’absenter pendant six semaines et elle a demandé à Jodie si elle voulait passer les six prochains vendredis soirs avec elle, car elle savait que Jodie ne faisait « rien » ces soirs, de toute façon.
Pendant les quatre vendredis soirs suivants, elles ont mangé ensemble, joué de la musique, partagé leurs expériences chrétiennes et, en général, apprécié la compagnie l’une de l’autre. Le cinquième weekend, Gayle a dit à Jodie qu’elle avait fait du shopping en ville et a égaré sa montre. Oh, bien, se dit-elle. Le sabbat est très proche. Elle a soudain réalisé qu’au cours des quatre vendredis soirs, elle avait vécu quelque chose de nouveau dans son expérience chrétienne. Elle avait grandi, appris à mieux connaitre son Dieu et approfondi sa foi. Le sabbat avait été une occasion d’éducation et de développement personnel.
C’est une histoire intéressante sur la façon dont nous pouvons considérer le sabbat, non seulement comme un jour ou un repos, mais aussi comme un moyen d’éducation.
Lecture de la semaine: Genèse 1, 2; Exode 16:14-29; Ésaïe 58:1-14; Matt. 12:1-13; Luc 13:10-17.