Comme nous l’avons vu tout au long de ce trimestre, un aspect central du ministère de Christ ici sur terre était celui d’un enseignant. Dès le début de Son ministère, que ce soit par Ses actes ou Ses paroles, Jésus a constamment enseigné à Ses disciples des vérités sur Lui-même, sur le Père, sur le salut et sur l’espérance qui nous attend (voir Matthieu 5:2, Marc 4:2, Luc 19:47, Jean 6:59).
En effet, il vous suffit de parcourir un Évangile, n’importe lequel, et vous trouverez l’enseignement de Jésus. Et bien que le Seigneur continue de nous enseigner même maintenant par Sa Parole, dans le nouveau monde, cet ensei- gnement continuera également. Mais imaginez à quel point il sera différent dans une existence sans le péché et toutes les limitations qu’il nous impose.
Selon vous, de quoi parle le texte suivant: « Et si on lui demande: d’où viennent ces blessures que Tu as aux mains ? Il répondra: c’est dans la maison de ceux qui m’aimaient que je les ai reçues » (Zach. 13:6)?
« À mesure qu’ils se dérouleront, les siècles éternels apporteront avec eux des révélations toujours plus glorieuses de Dieu et de Son Fils. Le progrès dans l’amour, la révérence et le bonheur marcheront de pair avec la connaissance. Plus les hommes apprendront à connaitre Dieu, plus aussi grandira leur admiration de Son caractère. Et au fur et à mesure que Jésus dévoilera aux élus les mystères de la rédemption et les résultats du grand conflit [contre] Satan, leurs cœurs tressailliront d’amour et de joie, et le chœur de louanges exécuté par mille millions de rachetés s’enflera, puissant et sublime…
La grande tragédie est terminée. Le péché et les pécheurs ne sont plus : l’univers est purifié. Dans l’immense création, tous les cœurs éprouvent la même allégresse. Des ondes de vie, de lumière et de joie, jaillissant du trône du Créateur, envahissent les derniers recoins de l’espace infini. De l’atome le plus imperceptible aux mondes les plus vastes, tant des êtres animés que des objets inanimés, s’élève, par la voie de leur beauté incomparable et de leur joie sans mélange, un cantique d’allégresse proclamant que Dieu est amour. » – Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 601.
De toutes les vérités incroyables que nous apprendrons à travers l’éter- nité, rien ne nous captivera plus que le sacrifice de Christ en notre faveur. Pensez à la profondeur et à la richesse que doit avoir le fait que nous l’étu- dierons pendant toute l’éternité. Même maintenant, comment pouvez-vous apprendre à mieux apprécier ce que Jésus a fait pour nous sur la croix ?