Dans le contexte d’Ésaïe 1.4, Ellen White a écrit: «Le prétendu peuple de Dieu s’était séparé de Dieu, avait perdu la sagesse, et avait perverti sa compréhension. Ils ne voyaient pas très loin. Car ils avaient oublié qu’ils avaient été débarrassés de leurs péchés passés. Ils avançaient nerveusement et de façon hésitante dans les ténèbres, cherchant à effacer de leurs pensées le souvenir de la liberté, de l’assurance et du bonheur de leur ancienne propriété. Ils se précipitèrent dans toutes sortes de folies présomptueuses et téméraires, se placèrent en opposition aux providences de Dieu, et augmentèrent la culpabilité qui était déjà sur eux. Ils écoutèrent les accusations que Satan avançait concernant le caractère divin, et représentaient Dieu comme dépourvu de miséricorde et de pardon. » The SDA Bible Commentary, vol. 4, p. 1137.
À MÉDITER
1.Comment pouvez-vous «vous laver»? Que signifie cette expression? (Voir Ph 2.12, 13.)
2.Comment Jésus s’est-il adapté, a-t-il développé et appliqué le chant d’amour de la vigne? Mt 21.33-45, Mc 12.1-12, Lc 20.9-19. Quelles leçons l’histoire ci-dessus donne-t-elle à nous autres, adventistes du septième jour ?
3.Quel est le lien entre le pardon que Dieu propose et la transformation qu’il accomplit dans nos vies ? Laquelle vient en premier, la transformation puis le pardon, ou le pardon puis la transformation ? Et pourquoi est-il important de savoir lequel vient en premier ?
4.Dans la citation ci-dessus, Ellen G. White dit que les gens se sont placés en opposition aux providences de Dieu. Qu’est-ce que cela signifie ?
Résumé: Quand le peuple de Dieu l’oublie et considère ses bénédictions comme un dû, il leur rappelle qu’ils doivent rendre des comptes au sujet de l’alliance qu’ils entretenaient avec lui. Avec clémence, il leur fait remarquer leur condition, les avertit des conséquences destructrices qu’ils encourent s’ils abandonnent sa protection, et les exhorte à le laisser les guérir et les purifier.