I. Le désir de Dieu
#2 La joie de Dieu
« Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. » Luc 15:6
Nous perdons tous régulièrement des objets et cela nous met parfois dans de graves situations, selon l’importance de l’objet perdu, de son utilité, de sa valeur économique et surtout émotionnelle. Car si nous pouvons remplacer certains objets, même s’ils sont couteux, les objets ayant une valeur émotionnelle importante peuvent très difficilement l’être. C’est tout bonnement impossible de remplacer certaines choses.
Si nous avons déjà perdu un objet important et irremplaçable, nous connaissons aussi l’immense joie que procure le fait de le retrouver. La parabole de la brebis est une belle illustration de l’amour de Dieu pour ses enfants et de sa joie, lorsqu’une âme perdue est retrouvée.
Seigneur, tu me rappelles aujourd’hui que nous avons de la valeur à tes yeux. Aussi nombreux que nous sommes sur terre, chacun de nous a de l’importance.
Réflexion :
On dit que nul n’est irremplaçable*. En quoi cette phrase, vraie sous certains angles, ne doit-elle pas influencer plus que nécessaire notre vie spirituelle et surtout notre mission ?
* La citation dit : « nul n’est irremplaçable et personne ne peut remplacer autrui. Tel est un des paradoxes de la vie. »
Lisez Matthieu 10:11-15. Comment trouver un équilibre entre notre détermination et la liberté de l’individu ?
“À l’aube du sabbat” est une pensée qui interroge sur notre vocation en tant que disciples.
Elle est écrite et publiée par le département des communications de la FEAR (Fédération des Églises Adventistes de La Réunion).