Selon Matthieu | Selon Marc | Selon Luc | Selon Jean |
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– | – | Lc 4.14-15 | Jean 4.43-54 |
Esprit de prophétie
Jésus-Christ, Chapitre 20 (pp 178.1-179.2)
De retour de la Pâque, les Galiléens racontèrent les œuvres merveilleuses de Jésus. La condamnation prononcée sur ses actes par les dignitaires de Jérusalem ouvrit la voie devant lui en Galilée. C’est qu’en effet les abus commis dans le temple étaient déplorés par plusieurs, ainsi que l’avarice et l’arrogance des prêtres. On espérait que cet homme qui avait mis les chefs en fuite serait le Libérateur attendu. Des nouvelles arrivèrent qui paraissaient confirmer ces brillants espoirs. On entendit dire que le prophète s’était annoncé comme étant le Messie.
Les habitants de Nazareth, toutefois, ne croyaient pas en lui. Raison pour laquelle Jésus ne visita pas Nazareth en se rendant à Cana. Comme le Sauveur l’a dit à ses disciples, aucun prophète n’est honoré dans son pays. Les hommes estiment un caractère selon ce qu’ils sont eux-mêmes capables d’apprécier. Les esprits étroits et charnels jugeaient le Christ selon son humble naissance, son apparence modeste, ses travaux quotidiens. Ils étaient incapables d’apprécier la pureté d’un esprit exempt de toute souillure.
La nouvelle du retour du Christ à Cana se répandit rapidement à travers la Galilée, faisant naître l’espoir chez ceux qui étaient souffrants et en détresse. A Capernaüm, un Juif de famille noble, officier du roi, avait un fils atteint d’une maladie apparemment incurable, condamné par les médecins. Le père, ayant entendu parler de Jésus, décida d’aller lui demander secours. L’enfant était si malade que l’on craignait qu’il ne pût vivre jusqu’à son retour; néanmoins l’officier pensa qu’il devait lui-même se présenter à Jésus, espérant que le grand Médecin se laisserait toucher par les prières d’un père.
La nouvelle du retour du Christ à Cana se répandit rapidement à travers la Galilée, faisant naître l’espoir chez ceux qui étaient souffrants et en détresse. A Capernaüm, un Juif de famille noble, officier du roi, avait un fils atteint d’une maladie apparemment incurable, condamné par les médecins. Le père, ayant entendu parler de Jésus, décida d’aller lui demander secours. L’enfant était si malade que l’on craignait qu’il ne pût vivre jusqu’à son retour; néanmoins l’officier pensa qu’il devait lui-même se présenter à Jésus, espérant que le grand Médecin se laisserait toucher par les prières d’un père.
La nouvelle du retour du Christ à Cana se répandit rapidement à travers la Galilée, faisant naître l’espoir chez ceux qui étaient souffrants et en détresse. A Capernaüm, un Juif de famille noble, officier du roi, avait un fils atteint d’une maladie apparemment incurable, condamné par les médecins. Le père, ayant entendu parler de Jésus, décida d’aller lui demander secours. L’enfant était si malade que l’on craignait qu’il ne pût vivre jusqu’à son retour; néanmoins l’officier pensa qu’il devait lui-même se présenter à Jésus, espérant que le grand Médecin se laisserait toucher par les prières d’un père.
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Pour poursuivre l’étude lire le chapitre 20 du livre Jésus-Christ d’Ellen G. White :
365 jours avec Jésus est une compilation de Merle Poirier, gestionnaire des opérations de AdventistWorld.