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Semaine de la GCV,Semaine spéciale
8 décembre 2020

Semaine GCV : Le temps de la guérison [Jour 5]

Méditation du jour

https://soundcloud.com/adventistereunion/semaine-de-la-gestion-chretienne-de-la-vie-jour-5/s-BbcyuFx4BoL

Le temps de la guérison

« De sorte que le Fils de l’homme est maĂźtre mĂȘme du sabbat » (Marc 2:28).

Il y a une vieille histoire rabbinique, ou plutĂŽt une parabole en fait : Dieu est allĂ© de nation en nation, offrant sa loi pour essayer de trouver ceux qui seraient disposĂ©s Ă  la recevoir. Ils ont demandĂ© : « Que contient la loi ? » Lorsqu’ils ont entendu parler d’interdictions telles que ne pas tuer, ne pas mentir, ne pas voler, tous les groupes ont rejetĂ© l’offre, car ils ne pouvaient pas imaginer la vie sans ces pratiques. Finalement, il a trouvĂ© un groupe de personnes dans le dĂ©sert Ă  qui il a proposĂ© la mĂȘme chose. Leur question a Ă©tĂ© : « Quel est l’avantage de garder tes commandements ? » Dieu leur rĂ©pondit : « Je vous offrirai mon royaume Ă©ternel, oĂč il n’y aura plus ni mort, ni souffrance, ni douleur ; vous serez toujours heureux. » Ils ont souri en disant : « Ce que tu nous dis est beau, mais c’est trop loin dans le temps ; nous voulons quelque chose que nous pouvons voir et goĂ»ter maintenant. » Dieu leur rĂ©pondit : « Avec la loi, je vais vous offrir un Ă©chantillon, un avant-goĂ»t, afin que vous puissiez voir Ă  quoi ressemble le royaume. Je vous donnerai le sabbat. » La parabole exprime une grande vĂ©ritĂ© : le sabbat est une anticipation, un avant-goĂ»t, de la vie Ă©ternelle.

Jésus et le sabbat

Chacun de nous a une certaine image du sabbat, en fonction de son expĂ©rience de vie et de ses connaissances sur la question. La plupart du temps, nous associons le mot « sabbat » au repos, Ă  la paix, aux bĂ©nĂ©dictions et Ă  la joie. Nous ne voulons pas que le sabbat soit perturbĂ© par des relations tendues, des accusations ou des souffrances physiques ou Ă©motionnelles. Mais nous vivons dans un monde de pĂ©chĂ©, et nous devons reconnaĂźtre que c’est parfois la rĂ©alitĂ©. Tous les sabbats ne sont pas les mĂȘmes. C’Ă©tait le cas avec JĂ©sus, dont nous pouvons lire le rĂ©cit dans Marc 3:1-6.

Peut-ĂȘtre que l’auteur, le disciple Marc, Ă©tait prĂ©sent durant ce sabbat. C’est pourquoi il ne pouvait pas oublier la scĂšne dans laquelle JĂ©sus « [promena] ses regards sur eux avec indignation » (Marc 3:5), parce que la souffrance Ă©tait trop grande et qu’il ne pouvait pas la cacher, et Ă  cause de l’endurcissement de leur cƓur.

L’évĂ©nement de la synagogue est prĂ©cĂ©dĂ© d’un autre Ă©pisode (Marc 2:23-28) qui a Ă©galement eu lieu le jour du sabbat. Les disciples avec JĂ©sus traversaient des champs de blĂ©, et ils se mirent Ă  arracher des Ă©pis et Ă  les manger (Marc 2:23). Celui qui est accusĂ© Ă  nouveau est, bien sĂ»r, JĂ©sus, car il le permet. Chaque disciple parle des miracles que JĂ©sus a accomplis le jour du sabbat, et si nous les comptons, il y en a sept en tout. Tous les Ă©vangiles relatent les tensions et les confrontations entre JĂ©sus et les chefs religieux Ă  l’occasion de ces miracles, mais c’est le disciple Jean qui consacre le plus grand espace Ă  la narration des controverses qui ont suivi.

Il est important que chaque croyant se souvienne que ces discussions ne portent jamais sur la façon dont le jour doit ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©, mais seulement sur la façon dont le sabbat doit ĂȘtre respectĂ©. Les pharisiens avaient 39 catĂ©gories d’interdictions pour le sabbat, et les discussions autour de ces interdictions Ă©taient sans fin et souvent stĂ©riles. JĂ©sus n’a jamais Ă©tĂ© entraĂźnĂ© dans de tels dĂ©bats. MĂȘme dans ces deux cas, il ne fait rien d’autre qu’exprimer des principes gĂ©nĂ©raux qui peuvent, bien sĂ»r, ĂȘtre appliquĂ©s diffĂ©remment, en fonction du lieu et du temps, comme « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal ? » (Marc 3:4) Le mal, c’est ce qu’ils avaient l’intention de faire ce mĂȘme sabbat – ils avaient l’intention de tuer JĂ©sus (Marc 3:6).

Le disciple Matthieu ajoute un dĂ©tail : « Si vous saviez ce que signifie : Je prends plaisir Ă  la misĂ©ricorde, et non aux sacrifices, vous n’auriez pas condamnĂ© des innocents » (Matthieu 12:7). Il est possible que, ce jour-lĂ , personne n’ait invitĂ© les disciples Ă  dĂ©jeuner. Dans l’Ancien Testament et au temps de JĂ©sus, le sabbat n’était pas un jour de jeĂ»ne, mais un jour de joie. C’est pourquoi JĂ©sus leur dit : « Le sabbat a Ă©tĂ© fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat » (Marc 2:27). Les principes Ă©noncĂ©s par JĂ©sus sont profonds et exhaustifs ! S’ils Ă©taient pris en compte mĂȘme aujourd’hui, beaucoup de tristes expĂ©riences seraient Ă©vitĂ©es.

Le sabbat – un jour de joie 

JĂ©sus est Ă  la synagogue un jour de sabbat et est invitĂ© Ă  prĂȘcher. C’est ce que nous voulons chaque sabbat : voir et entendre JĂ©sus ! JĂ©sus ne se contente pas d’énoncer les principes du sabbat, il montre aussi comment on peut les mettre en pratique. Il y avait un homme avec une main paralysĂ©e (Marc 3:1-3), et Ă  un moment donnĂ©, JĂ©sus remarque cet homme. Il s’arrĂȘte pendant le sermon et s’adresse Ă  celui qui a la main dessĂ©chĂ©e : « LĂšve-toi, lĂ  au milieu. »

Il est impossible que cet incident n’attire pas l’attention de tous, surtout de ceux qui suivaient JĂ©sus. À cette occasion, JĂ©sus entreprend trois actions. PremiĂšrement, il touche le malade. À un moment donnĂ©, leurs regards se croisent. JĂ©sus voit un besoin, une souffrance, et ne peut pas poursuivre sans s’arrĂȘter pour aider. Il voit l’impuissance, mais aussi la foi de cet homme, qui Ă©tait venu Ă  la synagogue pour adorer. DeuxiĂšmement, JĂ©sus s’implique. Il n’exprime pas seulement de la compassion, ce qui est important, mais qui n’est pas suffisant. Il demande Ă  l’homme de devenir le centre d’attention, de se tenir « au milieu ».

Souvent, le jour du sabbat, nous nous positionnons comme le centre d’attention, attendant que les autres viennent Ă  nous, attendant que les autres notent notre prĂ©sence ou notre ministĂšre. Souvent, le sabbat, aprĂšs une semaine entiĂšre de travail, devient le jour oĂč nous attendons d’ĂȘtre servis, nourris par la Parole de Dieu et bĂ©nis, oubliant le vĂ©ritable objectif du sabbat : bĂ©nir les autres par notre ministĂšre. Le sabbat ne peut devenir un jour de joie que si nous suivons l’exemple de JĂ©sus. Personne n’a eu le courage de rĂ©pondre Ă  la question de JĂ©sus, Ă  savoir s’il est « permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal » (Marc 3:4). TroisiĂšmement, JĂ©sus protĂšge cet homme, il ne se contente pas de le guĂ©rir. Les pharisiens et les hĂ©rodiens, les deux extrĂȘmes de la religiositĂ© juive, se retirent en colĂšre. Cette fois, ils ont un but commun : dĂ©truire JĂ©sus. Ceux qui se rĂ©jouissaient sont restĂ©s Ă  l’intĂ©rieur avec JĂ©sus et l’homme guĂ©ri. Pour eux et pour la famille de cet homme, le sabbat devient le plus beau des sabbats. C’est nous qui pouvons faire du sabbat un dĂ©lice et une joie pour nos familles et l’église oĂč nous adorons. 

Mais ne nous arrĂȘtons pas lĂ . Le commandement prononcĂ© au SinaĂŻ (Ex. 20:10) exige que la joie du sabbat soit goĂ»tĂ©e mĂȘme par ceux qui sont considĂ©rĂ©s comme des « étrangers » par les personnes qui cĂ©lĂšbrent le sabbat. Le jour du sabbat, Dieu veut toucher plus de cƓurs Ă  travers nous ; il veut dĂ©verser plus de bĂ©nĂ©dictions, et guĂ©rir plus d’ñmes pĂ©cheresses. JĂ©sus a dĂ©clarĂ© dans son sermon dans la synagogue de Nazareth que c’était sa mission (Luc 4:16-18).

Le rĂŽle et le but du sabbat

Il est important de bien comprendre le but du sabbat ; cela peut nous aider Ă  avoir la bonne attitude et Ă  agir correctement. Le sabbat est mentionnĂ© pour la premiĂšre fois dans la Bible au moment de la crĂ©ation (Gen. 2:1-3). C’est le jour oĂč Dieu a achevĂ© l’Ɠuvre de la CrĂ©ation. Il fait partie de son Ɠuvre. Ils ne peuvent pas ĂȘtre sĂ©parĂ©s. Si pendant les six jours, Dieu nous a offert des choses créées, le jour du sabbat, il s’offre lui-mĂȘme en entrant dans l’espace et le temps créés pour les humains. Le sabbat est le jour oĂč Dieu est prĂ©sent avec son repos, ainsi que la bĂ©nĂ©diction et la sanctification de ce temple créé dans le temps, auquel tous les gens ont accĂšs.

Le repos n’est pas le contraire du travail ; Dieu n’avait pas besoin de repos, et probablement l’homme et la femme n’en avaient pas besoin non plus lors de la CrĂ©ation. Le repos est la cĂ©lĂ©bration de l’harmonie entre le ciel et la terre. C’est la joie de l’univers entier pour tout ce qui a Ă©tĂ© créé. Le premier rĂ©cit de la CrĂ©ation (Gen. 1, 2) culmine dans la joie du sabbat. En d’autres termes, tout ce que Dieu a créé Ă©tait pour ce jour particulier, le sabbat. MĂȘme aprĂšs la chute, le sabbat continue d’ĂȘtre un mĂ©morial de la crĂ©ation, pointant vers Celui qui est le CrĂ©ateur. En mĂȘme temps, il porte en lui une certaine nostalgie ; il nous rappelle ce que nous avons perdu. Si vous avez perdu un ĂȘtre cher, le sabbat rĂ©veille des souvenirs qui peuvent faire mal. Mais en mĂȘme temps, le sabbat parle d’une fin, la fin de la crĂ©ation, mais aussi de la re-crĂ©ation. C’est pourquoi il porte en lui l’espoir. C’est la fin de notre voyage de retour Ă  la maison. Chaque sabbat n’est rien d’autre qu’une rĂ©pĂ©tition du jour oĂč nous verrons face Ă  face Celui qui est le Seigneur du sabbat. Ainsi, le sabbat devient une voĂ»te qui relie la crĂ©ation Ă  la re-crĂ©ation par JĂ©sus-Christ, et au centre de cette voĂ»te se trouve la croix du Golgotha.

Nous pouvons Ă©galement appeler le sabbat le jour de la rĂ©union. Quand mes parents Ă©taient en vie et que je leur disais que je rentrais Ă  la maison pour une visite, c’était le plus beau jour pour eux. Chaque occasion de se retrouver Ă©tait pleine d’émotion et de joie. Rien n’est plus triste que des parents qui attendent que leurs enfants viennent, et que les enfants ne les honorent pas de leur prĂ©sence. Chaque sabbat, Dieu ouvre la porte des bĂ©nĂ©dictions et attend de ses enfants qu’ils viennent pour une nouvelle fĂȘte.

Chaque sabbat, nous faisons l’expĂ©rience du repos en mettant en pratique le principe du travail accompli. Nous avons de nombreux plans, des listes de choses Ă  faire et d’innombrables souhaits. La vie au-delĂ  des portes de l’Eden est marquĂ©e par de nombreux Ă©checs. D’autre part, le sabbat nous dit de mettre nos soucis de cĂŽtĂ©, de nous arrĂȘter et d’apprendre la leçon la plus importante : ce que Dieu fait pour nous est bien plus important que nos propres rĂ©alisations. Dans l’Ɠuvre de la CrĂ©ation et de la re-crĂ©ation, le repos prĂ©cĂšde le travail. Le premier jour complet de la premiĂšre famille humaine fut un jour de repos.

Le sabbat dans le contexte de la grande controverse 

Dieu ne voulait pas que cette planĂšte devienne un lieu de douleur et de souffrance, mais il a prĂ©vu la possibilitĂ© que les humains chutent, alors il nous a donnĂ© le sabbat. Il a voulu dire que le danger de tomber dans le pĂ©chĂ© est rĂ©el, et qu’il ne suffit donc pas de se rĂ©unir une fois par an ou une fois par mois. Il veut passer une journĂ©e avec nous chaque semaine. Le besoin de la prĂ©sence de Dieu est impĂ©ratif aprĂšs ĂȘtre tombĂ© dans le pĂ©chĂ©. Les miracles accomplis par le Christ le jour du sabbat doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©s dans le contexte du grand conflit. « Le but que Dieu se propose c’est la rĂ©demption de l’homme ; par consĂ©quent, ce qui doit ĂȘtre fait le jour du sabbat pour l’accomplissement de cette Ɠuvre est en accord avec la loi du sabbat. » Avant qu’ils ne tombent dans le pĂ©chĂ©, Dieu se reposa avec l’homme et la femme (Gen. 2 : 1-3), mais dans les conditions de pĂ©chĂ© et de souffrance, Dieu travaille le jour du sabbat. C’est ainsi qu’il manifeste ainsi sa prĂ©sence. Les Ă©vangiles montrent comment la tension entre les chefs religieux et JĂ©sus augmente, Ă  cause de son ministĂšre du sabbat. C’est ainsi que JĂ©sus a rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ© et le caractĂšre de Dieu (Jean 5:17-47). Le jour du sabbat, le salut des humains, qui Ă©tait l’Ɠuvre du PĂšre, Ă©tait une prioritĂ© pour JĂ©sus.

Le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse, rĂ©vĂšle de maniĂšre plus large la rĂ©alitĂ© de la grande controverse. Au centre de ce livre se trouve le message du sabbat. En ce temps de la fin, le nombre de ceux qui croient au rĂ©cit de la CrĂ©ation et qui honorent le CrĂ©ateur va en s’amenuisant. C’est pourquoi nous devons transmettre la vĂ©ritĂ© : « Adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux » (Apoc. 14:7). Les Juifs avaient le sabbat, mais ont rejetĂ© JĂ©sus, et sans le Seigneur du sabbat (Marc 2:28), l’observance du jour n’a aucune valeur. Ils l’ont entourĂ© de toutes sortes de restrictions, et JĂ©sus a voulu lui redonner son vrai sens. Un autre extrĂȘme est lorsque le sabbat devient un jour de repos ordinaire, sans le respect et l’honneur que nous accordons Ă  Celui qui l’a créé. Le sabbat est le moyen et l’occasion par lesquels nous montrons que Dieu est le premier dans notre vie et que la mission du Christ est notre mission.

En 2007, les mĂ©dias roumains ont publiĂ© un article Ă©crit par un non-adventiste, intitulĂ© « Pardonne-moi, BĂ©atrice ». L’auteur de l’article, Emilian Isailă, dĂ©crit un incident qui s’est produit lorsqu’il frĂ©quentait une Ă©cole secondaire Ă  Bucarest. Il avait une camarade de classe qui s’appelait BĂ©atrice. Il raconte : « C’était une fille de petite taille, belle et intelligente. C’était une bonne Ă©lĂšve et elle ne parlait pas sans qu’on le lui demande… Pour toute la classe, BĂ©atrice Ă©tait un mystĂšre. Je l’enviais sincĂšrement. À l’époque, il me semblait incroyable qu’un Ă©lĂšve manque une journĂ©e de cours chaque semaine. En plus de ne pas venir le samedi, BĂ©atrice s’absentait dĂšs les derniers cours du vendredi. Nous Ă©tions en cours en fin d’aprĂšs-midi, et quand le soir approchait, elle faisait son sac et partait… BĂ©atrice Ă©tait la fille d’une famille de mĂ©decins, membres de l’Église adventiste du septiĂšme jour. Tous les samedis, les professeurs notaient ses absences non motivĂ©es… Un vendredi aprĂšs-midi, Ă  la fin du cours d’histoire, cinq minutes avant que la cloche ne sonne, notre professeur nous a suggĂ©rĂ© d’empĂȘcher BĂ©atrice de partir… Impassible aux menaces, BĂ©atrice commença Ă  faire ses valises. La maĂźtresse nous appela Ă  l’en empĂȘcher. Quelques garçons, dont moi-mĂȘme, bloquĂšrent la porte ; d’autres l’entourĂšrent, essayant de la faire abandonner. BĂ©atrice se rassit Ă  sa table. Elle se couvrit les oreilles avec ses mains pour ne plus nous entendre et se mit Ă  pleurer. Les larmes coulaient sur ses joues comme deux sources qui avaient enfin trouvĂ© leur chemin vers la lumiĂšre. Nous restĂąmes dĂ©contenancĂ©s. Soudain, il y eut un silence comme si toute la classe avait eu une rĂ©vĂ©lation. Nous avions honte… À partir de ce jour-lĂ , BĂ©atrice n’eut aucun problĂšme pour quitter l’école. Une sorte de mystĂ©rieuse solidaritĂ© s’était créée entre elle et nous. DorĂ©navant, nous l’aidions. »

Aujourd’hui encore, JĂ©sus s’adresse aux jeunes, aux parents, Ă  nous tous : « LĂšve-toi, lĂ , devant tout le monde » (Marc 3,3, BFC). Le sabbat est le moyen par lequel nous honorons Dieu. Nous montrons qu’il mĂ©rite que nous lui donnions la premiĂšre place dans notre vie. Le sabbat est le jour de la guĂ©rison, un jour oĂč nos cƓurs sont touchĂ©s par son amour. Le sabbat est le jour oĂč Dieu veut apporter la guĂ©rison et les bĂ©nĂ©dictions par l’intermĂ©diaire de ses enfants Ă  tous ceux qui nous entourent. Le sabbat est le signe de l’appartenance et de la fidĂ©litĂ© Ă  Dieu.

Je promets

 D’observer le sabbat, de prendre les dispositions nĂ©cessaires pour la prĂ©paration de ce jour, de respecter ses limites, et j’opte pour de bonnes pensĂ©es et de bonnes activitĂ©s en accord avec la volontĂ© de Dieu.

  1. Quelle place le sabbat occupe-t-il dans l’emploi du temps de votre famille ? Le sabbat est-il un jour de joie ?
  2. Comment le sabbat peut-il devenir une bĂ©nĂ©diction pour ceux qui nous entourent ?
  3. Quelles dĂ©cisions voulez-vous prendre pour reconsidĂ©rer la façon dont vous cĂ©lĂ©brez le sabbat ?

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