« Le lion, que nous devrions redouter et craindre ici, se couchera alors avec l’agneau, et tout sur la nouvelle terre sera paix et harmonie. Les arbres de la nouvelle terre seront droits et hauts, sans difformités… Que tout ce qui est beau dans notre foyer terrestre nous rappelle la rivière de cristal et les champs verts, les arbres qui ondulent et les fontaines vivantes, la ville brillante et les chanteurs vêtus de blanc, notre foyer céleste, ce monde de beauté qu’aucun artiste ne peut imaginer et qu’aucune langue mortelle ne peut décrire. Pensez à la maison des rachetés, et souvenez-vous qu’elle sera plus glorieuse que ce que votre imagi- nation la plus brillante peut représenter » – (traduit d’Ellen G. White, Heaven, pp. 133, 134.
« La crainte de trop matérialiser l’héritage éternel a poussé plusieurs à spiritualiser, à rendre inconsistantes les promesses qui nous le décrivent comme notre demeure future. Jésus assura à Ses disciples qu’Il allait leur préparer des places dans la maison du Père. Or, ceux qui acceptent les enseignements de la Parole de Dieu ne sont pas laissés entièrement dans l’ignorance touchant ces demeures… La langue humaine est impuissante pour décrire la récompense des justes. Seuls pourront s’en rendre compte ceux qui la verront. Notre esprit borné est incapable de concevoir la gloire du paradis de Dieu. » – Ellen G. White, La tragédie des siècles, pp. 597, 598.
Discussion:
Approfondissez le point soulevé par Pascal, à propos des personnes qui semblent si peu préoccupées par ce que l’éternité apportera. Pourquoi pensez-vous que les gens sont ainsi? Pourquoi cette attitude est-elle si irrationnelle?
Expliquez pourquoi l’espérance de la vie éternelle est si importante pour notre foi. Sans cela, pourquoi n’avons-nous vraiment rien?
Pensez à tous les mystères incroyables qui existent dans le monde naturel. Que ce soit la biologie, la géologie, l’astronomie, la physique, la chimie; dans tous les domaines, tout s’avère tellement plus complexe que ce que les gens pensaient à l’origine. Les scientifiques, par exemple, ne parlent plus de « formes de vie simples », car il s’avère que même les formes de vie les plus simples ne sont pas si simples. Chaque nouvelle percée, chaque nouvelle découverte, semble ne faire qu’ouvrir de nouvelles questions aux- quelles il faut répondre. Comment tout cela nous aide-t-il à comprendre tout ce que nous allons apprendre dans « l’école de l’au-delà » ?
Réflexion avancée: Lisez Ellen G. White, « L’école de l’au-delà », pp. 238-244 Éducation; « La fin de la tragédie », pp. 586-601, dans La tragédie des siècles.