L’aube du Sabbat : Un amour bien plus grand

I. Le désir de Dieu

#4 Un amour bien plus grand

« Il dit : c’est peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob et pour ramener les restes d’Israël : je t’établis pour être la lumière des nations, pour porter mon salut jusqu’aux extrémités de la terre. » Esaïe 49:67

Le plan de Dieu a commencé bien avant le ministère du Christ sur terre. Son désir de sauver l’humanité se lit déjà dans l’histoire du peuple d’Israël. Dieu ne s’est pas tourné vers le reste des nations par défaut, après que son peuple ait rejeté le messie. Nous ne pouvons pas imaginer que Dieu ait été pris au dépourvu. En réalité, son plan a toujours été de sauver l’humanité, et le peuple d’Israël en était l’instrument. Chaque miracle qu’il réalisait démontrait à « tous les peuples de la terre […] que la main de l’Éternel est puissante » Josué 4:24

Le verset du jour présente parfaitement la vision globale de Dieu. Il ne s’est jamais limité à un peuple, c’est bien trop peu pour son amour. Il a toujours souhaité que son « salut » soit porté « jusqu’aux extrémités de la terre. »

Seigneur, aide-moi à prendre conscience de l’importance du plan de salut et à partager ton désir de voir le salut apporté au plus grand nombre.

Réflexion :

Nous arrive-t-il d’oublier que nous avons une mission aussi et surtout en dehors de l’église ? À quoi est réduite une église qui s’occupe uniquement de ces membres ?

Comment concilier ces deux champs d’action (à l’intérieur et à l’extérieur)

Pensez aussi à ceux qui sont dans l’église, mais qui ne sont pas encore en Jésus.

“À l’aube du sabbat” est une pensée qui interroge sur notre vocation en tant que disciples.

Elle est écrite et publiée par le département des communications de la FEAR (Fédération des Églises Adventistes de La Réunion).