Dimanche 4 décembre 2022

1. Portes du parvis : La louange

2. Autel des holocaustes : La prière de confession
Le croyant repentant, faisant ce qu’exige la conversion, commémore par son baptême la mort, l’ensevelissement et la résurrection du Christ. Il descend dans l’eau, symbolisant ainsi la mort et l’ensevelissement du Sauveur, et en sort, représentant de cette manière sa résurrection, non pour reprendre son ancienne vie de péché, mais pour vivre une vie nouvelle en Jésus-Christ.
Ellen G. White, Pour mieux connaitre Jésus-Christ, P. 73

3. Cuve d’airain : Le renouvellement

4. Table des pains : La Parole de Dieu
L’Autel des sacrifices
« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. »
Rom. 12:1
Chaque matin et chaque soir, un agneau d’un an était sacrifié sur l’autel, symbolisant la consécration quotidienne de la nation et sa dépendance constante du sang expiatoire du Christ. Seule une offrande « sans défaut » pouvait être un symbole de la pureté parfaite de Celui qui devait s’offrir comme « un agneau sans défaut et sans tache » 1 Pierre 1:19. L’apôtre Paul dit : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » Romains 12:1. Ceux qui l’aiment de tout leur cœur désireront lui rendre le meilleur service de leur vie, cherchant constamment à mettre chaque faculté de leur être en harmonie avec sa volonté. (From Eternity Past, p. 244, 245)
Pour atteindre un idéal si élevé, il faut sacrifier tout ce qui est pour l’âme une occasion de chute. C’est par la volonté que le péché a prise sur l’homme… Il nous semble parfois que se soumettre à la volonté de Dieu, c’est consentir à traverser l’existence en mutilé ou en infirme. Il est préférable, dit Jésus, de mutiler le moi, de l’amputer, de le diminuer, si ce sacrifice nous assure l’entrée dans la vie. Ce que vous regardez comme un malheur vous ouvre, en réalité, la porte du plus grand bonheur. (Heureux ceux qui, p. 54)
Dieu n’acceptera rien de moins qu’un abandon sans réserve. De soi-disant chrétiens, pécheurs, et irrésolus ne pourront jamais entrer dans le ciel. Ils n’y trouveraient pas le bonheur ; car ils ne connaissent rien des principes saints et élevés qui gouvernent les membres de la famille royale d’en haut. (This Day with God, p. 145)
J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. (Gal. 2:20)
Le don de soi-même à Dieu exige un sacrifice, mais c’est échanger ce qui est vil pour ce qui est noble, ce qui est terrestre pour ce qui est spirituel, ce qui est éphémère pour ce qui est éternel. Dieu ne souhaite pas anéantir notre volonté puisque ce n’est qu’en l’exerçant que nous pouvons accomplir ce qu’il désire de nous. Mais nous devons la lui abandonner pour qu’il nous la rende purifiée, régénérée et si étroitement unie à lui qu’il puisse répandre en nous les forces vives de son divin amour. Si amère et douloureuse que cette soumission paraisse au cœur volontaire et égaré, elle est « pour notre bien ». (Heureux ceux qui, p. 55)
Le Seigneur voudrait nous confier une grande œuvre, et il nous invite à regarder à lui, à lui faire confiance, à marcher avec lui, à parler avec lui. Il nous invite à lui soumettre sans réserve tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes, afin que, lorsqu’il nous appellera à sacrifier pour lui, nous soyons prêts et disposés à lui obéir. Ce n’est qu’en abandonnant tout au Christ que nous jouirons de la plénitude de la grâce divine. Ce n’est qu’en maintenant le feu allumé sur l’autel du sacrifice que nous connaîtrons le sens du véritable bonheur. Ceux qui auront fait le plus dans le présent hériteront de Dieu le plus dans l’avenir… Chaque jour, il nous éprouve dans diverses circonstances ; et dans chaque entreprise sincère, il choisit ses ouvriers, non parce qu’ils sont parfaits, mais parce qu’ils sont prêts à travailler généreusement pour lui, et il veille à ce que, grâce à leur communion avec lui, ils parviennent à la perfection. (Our High Calling, p. 191)
L’appel du Christ au sacrifice et à la soumission sans réserve signifie la crucifixion du moi. Pour répondre à cet appel, il nous faut une foi totale en lui, le parfait Exemple ; nous devons pleinement comprendre que nous avons à le représenter dans le monde. Tous ceux qui travaillent pour le Christ doivent suivre sa ligne de conduite. Ils doivent vivre sa vie. Pour eux, son appel à un abandon total doit être suprême. Ils ne doivent permettre à aucun lien, à aucun intérêt terrestre de les empêcher de lui rendre l’hommage de leur cœur et de mettre leur vie à son service. Sans relâche, ils doivent sérieusement travailler avec Dieu pour arracher les âmes en péril à la puissance du tentateur. (Levez vos yeux en haut, p. 227)
Cet appel qui nous invite à tout placer sur l’autel du service s’adresse à chacun de nous. Il ne nous est pas demandé de servir comme Élisée, ni de vendre tous nos biens, mais d’offrir au Seigneur la première place dans nos vies, et par conséquent de ne laisser passer aucune journée sans faire quelque chose pour l’avancement de son règne. Nous ne sommes pas tous appelés au même travail. L’un devra peut-être partir en pays étranger, l’autre sera appelé à soutenir financièrement l’œuvre évangélique. Mais le Seigneur accepte le don de chacun. Ce qui compte, c’est la consécration de nos vies et de tout ce qui s’y rattache. Ceux qui y parviennent entendront l’appel divin et lui obéiront.
(Prophètes et Rois, p. 166)

5. Chandelier : Le Saint-Esprit

6. Autel des parfums : L’intercession
🖊 Si ce n’est pas déjà le cas, c’est le moment d’avoir un journal de prière pour noter les sujets de vos soeurs et frères, voisins, amis…

7. Autel de l’alliance : Rester en communion avec Dieu
Quelle victoire vous remporterez quand vous apprendrez à obéir aux divines providences qui s’offrent à vous avec un cœur reconnaissant et avec la détermination de vivre en recherchant la gloire de Dieu, dans la maladie comme dans la santé, dans le besoin comme dans l’abondance! Le “moi” vit et frémit au moindre attouchement. Ce moi doit être crucifié avant que vous puissiez remporter la victoire au nom de Jésus et obtenir la récompense avec les fidèles.
Ellen G. White, Testimonies for the Church 4:221 (1876).
🙏 Bénédiction
3 Jean 1:2Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tout point de vue et sois en bonne santé, à l’image de ton âme.