I. Le désir de Dieu
#3 Retrouver la sécurité
De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. » Luc 15:7
Imaginez-vous au supermarché, à proximité de l’accueil. Vous entendez une voix résonner dans les haut-parleurs : « Le petit Nicolas attend ces parents à l’accueil ». Au bout de quelques secondes seulement, vous apercevez une mère accourir pour prendre le petit Nicolas dans ces bras.
Vous ressentez l’amour de la mère dans cette touchante scène. Mais cette maman n’aime pas plus son petit Nicolas à cet instant qu’auparavant. Elle n’aime pas plus son petit Nicolas que ses autres enfants. Elle est simplement dans la joie de savoir son fils de nouveau en sécurité.
La place qu’un enfant occupe dans l’esprit de ses parents est souvent proportionnelle aux défis et difficultés qui celui-ci traverse. Dans la parabole de la brebis perdue, le berger aime toutes ses brebis, pas une plus que les autres, mais l’inquiétude qu’il a ressentie d’en savoir une perdue et proportionnelle à la joie de la retrouver.
Les émotions humaines sont bien imparfaites pour illustrer le coeur de Dieu, mais nous savons qu’il ressent une joie immense lorsqu’un de ses enfants retrouve la sécurité de sa bergerie.
Seigneur, tu me rappelles aujourd’hui que nous avons de la valeur à tes yeux. Aussi nombreux que nous Seigneur, merci de me faire comprendre que tu me veux en sécurité, mais pas seulement moi…
Réflexion :
Ressentons-nous de la joie lorsqu’une personne donne son coeur au Seigneur ? Nous arrive-t-il d’être insensibles, voire mécontents ?
Comment comprendre et surtout partager la joie de Dieu ?
“À l’aube du sabbat” est une pensée qui interroge sur notre vocation en tant que disciples.
Elle est écrite et publiée par le département des communications de la FEAR (Fédération des Églises Adventistes de La Réunion).